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P. Godderidge - J. Morhaïm,
"Les intangibles coïncidences", 1999, photo : C. Godderidge.
"La sculpture se crée parce que je veux reproduire la sensation que j’ai eue en construisant la première forme. Je trouve que la danse et la sculpture se rapprochent beaucoup parce que, même si ma matière n’est pas le corps, c’est avec lui que je travaille et avec l’imaginaire qu’il y a derrière aussi."